Le tourisme et ses impacts sur l’environnement

La pollution, l'érosion des sols et l'acidification des océans sont quelques-uns des effets du tourisme de masse. Comme cela se passe à Machu Picchu, au Pérou. Et, souvent, en plus des dommages environnementaux, il y a aussi l'absence d'une répartition équitable des revenus produits. Mais est-il possible de faire du tourisme de manière durable ? 2017 est l'Année Internationale du Tourisme Durable, voulue par l'ONU. L'idée était de permettre aux voyageurs de briser les barrières sociales et culturelles. En plus d'aimer la planète. Le tourisme durable signifie « voyager de manière responsable dans les espaces naturels, protéger l'environnement et soutenir le bien-être des populations locales ». C'est la définition de la société internationale d'écotourisme. La différence entre le tourisme responsable et le tourisme durable est donc une nuance : la première évalue l'impact éthique sur la population locale et sur son développement économique et social. Le tourisme durable, d'autre part, considère qu'il s'agit de l'environnement. 

Quid de l’écotourisme ?

On parle cependant d'écotourisme lorsque le but du voyage est d'être en contact avec la nature surtout dans le le tourisme balnéaire et ses dérivés. Un parcours naturaliste ne se dit pas responsable et/ou durable. Après avoir clarifié les définitions, nous en savons plus sur le tourisme durable. Un voyage peut être défini comme durable s'il respecte la loi des 3E : économie, éthique et environnement sont les aspects à prendre en considération. Un touriste vert évalue non seulement l'impact économique de son voyage mais aussi l'impact éthique et environnemental. Et il fait preuve de respect et de sensibilité envers les territoires, les populations et les cultures qui l'accueillent. Comment choisir un voyage durable ? Nous vous proposons les aspects à prendre en compte dans votre parcours vert : chaque entrée a son correspondant en dioxyde de carbone et l'économie d'émissions équivaut à planter de nouveaux arbres. Choisir une alimentation zéro km, c'est économiser le transport de marchandises, soit 952 grammes de CO2, soit l'équivalent de 35 arbres. Les produits de nettoyage naturels biodégradables et dans des contenants en bioplastique permettent d'économiser 35 g d'émissions, comme planter un arbre.

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